Pas de "Layole" sans mouche.
C'est vrai que chaque fois je touche
mon couteau, je me sens
projetée mille milles d'ici,
en France, assis dehors à la table.
Ecoutant le tambour des pics, regardant
les rouges-gorges en gymnastique,
- pendant qu'un vent
- pendant qu'un vent
souffle légèrement -
reniflant les aromes du romarin
et de la menthe,
caressant le chat mendiant,
le soleil brillant dans le dos,
jouissant sans lire ou dire un mot
de trop...
C'est un désir inéffaçable.
http://www.randonneur.net/sons/oiseaux/rouge-gorge-1.mp3
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